Après une conférence ayant eu lieu en février dernier sur la restauration du rouleau du Marquis de Sade, un colloque se tiendra le vendredi 22 septembre en salle des conférences à la BnF, site Richelieu.
Titre du colloque : De quoi Sade est-il le nom ? Vers l'éclipse du soleil noir ?
Internenants : Basile Ader, Christian Alandete, Christophe Blanc, Olivier Bosc, Michel Delon, Stéphanie Genand, Marcela Iacub, Annie Lebrun, Pierre Leroy, Claire Lesage, Alyce Mahon, Antonio Monegal, Isabelle Mons, Carlo Perrone, Thibault de Sade et Hugues de Sade.
© BnF, Service numérisation
Date et horaire : Vendredi 22 septembre, 9h30-18h
Lieu : 5 rue Vivienne, Paris 2ème
Tous les détails de ce colloque → ICI
Bibliothèque de l'Arsenal
1, rue de Sully 75004 Paris
(boîte postale et accès aux manifestations
et aux expositions)
lundi : 14 h -19 h
mardi-vendredi : 10 h -19 h
samedi 10 h-18 h
La Bibliothèque de l'Arsenal a reçu le label Maison des illustres en 2012 et une étoile au Guide vert Michelin en 2017.
Le Centre de ressources sur les métiers du livre s'adresse aux étudiants mais aussi aux enseignants et aux professionnels. En accès libre, cette sélection de 1400 volumes environ traite des aspects les plus contemporains des métiers du livre par catégories : ouvrages de synthèse ou plus spécifiques, dictionnaires, documents professionnels (actes de colloques, conventions collectives...), monographies sur les personnalités de la chaîne du livre ou catalogues d'exposition. Le dernier numéro d'une quarantaine de périodiques est à disposition. Des centaines de bases de données recensées dans les domaines des Généralités sur le livre et les métiers du livre, Industries et commerce du livre, Bibliothèques/Bibliothéconomie, Arts graphiques, y sont accessibles. Présentation pour des groupes constitués sur réservation préalable à : metiersdulivre.arsenal@bnf.fr
Depuis janvier 2023, pour des raisons indépendantes de notre volonté, ces visites sont suspendues. De même, il reste possible de consulter des usuels, mais plus de rester dans cette salle.
©Thierry Ardouin/Tendance Floue - BnF
Le département Littérature et art propose un fonds représentatif de la production française et internationale sur le livre, son histoire et ses métiers ainsi que sur les bibliothèques et les sciences de l’information des origines à nos jours. Il conserve également d'importants fonds patrimoniaux : catalogues de libraires et d'éditeurs et catalogues de vente de livres.
La salle E, partagée entre DCA et LLA, propose des collections en accès libre sur l’histoire et le circuit de production du livre imprimé.
Le Centre national de la littérature pour la jeunesse, service du département Littérature et art, propose l’intégralité de la production éditoriale française depuis 1950 ainsi qu'un fonds patrimonial et des collections étrangères.
La Réserve des livres rares rassemble les éditions des textes qui occupent une place remarquable dans la culture occidentale, les livres d’artiste français et étrangers publiés depuis la fin du XIXe siècle et une riche collection de reliures.
Le département des Manuscrits conserve la plus importante collection au monde de manuscrits médiévaux, modernes et contemporains. Il recueille et met à la disposition du public les archives personnelles de certains écrivains français, y compris contemporains.
Le département Droit, économie, politique et presse met à la disposition du public en salle D les statistiques du SNE et des études de marché sur l'édition et la librairie, ainsi que des annuaires d'éditeurs et des documents sur l'orientation professionnelle dans les métiers du livre.
La salle Ovale, espace en libre accès ouvert à tous, géré conjointement par le département de la Découverte des collections et de l'accompagnement à la recherche et par la direction du développement culturel et du Musée, met l'accent sur les écritures et les écrits. Des ressources, également accessibles au jeune public, dessinent ainsi un panorama sur les alphabets, la calligraphie et les manuscrits, notamment les manuscrits d'écrivains.
©BnF
La Bibliothèque de l'Arsenal et les Rendez-vous des métiers du livre offrent un lieu de découverte, de débats, d’échanges entre les professionnels du livre et le public le plus large. Vous sont proposés :
©BnF
La Bibliothèque de l'Arsenal et les Rendez-vous des métiers du livre offrent un lieu de découverte, de débats, d’échanges entre les professionnels du livre et le public le plus large. Vous sont proposés :
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La Bibliothèque de l'Arsenal et les Rendez-vous des métiers du livre offrent un lieu de découverte, de débats, d’échanges entre les professionnels du livre et le public le plus large. Vous sont proposés :
©David Paul Carr/BnF
La Bibliothèque de l'Arsenal et les Rendez-vous des métiers du livre offrent un lieu de découverte, de débats, d’échanges entre les professionnels du livre et le public le plus large. Vous sont proposés :
©Alain Goustard/BnF
La Bibliothèque de l'Arsenal et les Rendez-vous des métiers du livre offrent un lieu de découverte, de débats, d’échanges entre les professionnels du livre et le public le plus large. Vous sont proposés :
©HS/BnF
La Bibliothèque de l'Arsenal et les Rendez-vous des métiers du livre offrent un lieu de découverte, de débats, d’échanges entre les professionnels du livre et le public le plus large. Vous sont proposés :
Les trésors médiévaux de l'Arsenal
Le 14 novembre 2022, nous avons eu la joie d'accueillir un public nombreux et fervent pour écouter Gennaro Toscano exposer pourquoi La Passion de saint Maurice et de ses compagnons (Ms 940 Réserve), un des fleurons de la collections de Paulmy, occupe depuis les années 1950 une place importance en histoire de l'art, en lien notamment avec Iacopo et Giovanni Bellini. Puis, Louisa Torres et Jérémy Chaponneau ont proposé en duo un panorama des types de manuscrits médiévaux collectionnés par le marquis de Paulmy puisque, à deux jours près, nous célébrions le tricentenaire de sa naissance.
Retrouvez les deux premières séances de ce cycle sous forme de podcast.
-Les archives de la Bastille : podcast de la conférence du 23 mai 2022 par Arlette Farge et Fabienne Queyroux
-De l’Hôtel du grand maître de l’artillerie à la bibliothèque de l'Arsenal : podcast de la conférence du 11 avril 2022, par Alexandre Gady et Sophie Guérinot
Exposition au musée Médard de Lunel intitulée "Des mers et des océans : hissez les pages !"
Lieu : Musée Médard, 71 place des Martyrs de la Résistance, 34400 Lunel
Date : du mercredi 26 avril au dimanche 17 septembre 2023
Plus d'informations → ICI
Après les très beaux spécimens d’insectes de Maria Sybilla Merian (article précédent), voici une œuvre qui nous est présentée sans signature mais rédigée à la première personne. Selon la préface du livre, l’ouvrage serait la dernière œuvre de Rabelais, avant sa mort. Simple argument de vente ? car rien ne rattache à cet auteur les 120 gravures sur bois complètement muettes qui suivent, ou bien simple figure de style objectivée dans la préface par une expression rappelant que la qualité n’a pas besoin d’être vantée.
Chacun y trouvera le sens qu’il voudra, les seuls visées de « l’éditeur » (probablement l’artiste ornemaniste François Desprez) étant de « servir de passe-temps à la jeunesse » et d’inspiration pour des mascarades. De fait, ces drôles de créatures représentées font parfois penser à des humains, affublés d’assemblages hétéroclites d’ustensiles familiers ; quand d’autres ressemblent à des créatures hybrides entre humains et animaux à l’humeur lunatique. On ne peut s’empêcher de penser à la peinture de Jérôme Bosch (1450-1516). L’artiste graveur s’en est-il inspiré ? Le mystère reste entier.
Les Songes drolatiques de Pantagruel (Réserve 8-BL-19596). Paris : Richard Breton, 1565. In-8o.
Prov. : comte d'Argenson ; marquis de Paulmy
Présentation de quelques ouvrages exposés le dimanche 17 septembre à la bibliothèque de l'Arsenal, à l'occasion des journées du patrimoine (4/5)
On ne connaît que deux manuscrits de Candide : le manuscrit Rés. Z Beuchot 927 A (Réserve des livres rares, BnF, site Tolbiac) qui contient seulement des fragments correspondant à l’édition de 1761 et le manuscrit de la bibliothèque de l’Arsenal "Candide ou L'optismime". Il s’agit pour ce dernier d’un manuscrit complet, qui précède la première édition du roman. Une des particularités de ce manuscrit réside dans le fait qu’il contient deux versions du chapitre 22 dressant un portrait satirique de la société parisienne à travers le monde littéraire et le monde du théâtre.
Le texte sera publié sous un pseudonyme en 1759 dans un contexte de censure et deviendra un immense succès littéraire. Voltaire avait pris des dispositions pour que Candide soit diffusé simultanément dans plusieurs villes européennes, avant même de l’être à Genève, lieu de villégiature de l’auteur à l’époque.
L’exemplaire de la bibliothèque de l’Arsenal, présenté le 17 septembre prochain, est une copie réalisée par le secrétaire de Voltaire, Nicolas Wagnière, et porte des corrections autographes de l’auteur.
C’est en automne 1758 que Voltaire fit passer cet ouvrage, chapitre par chapitre au duc de La Vallière (1708-1780), neveu de Louise de La Vallière, la maîtresse de Louis XIV. Par ses origines et ses fonctions, le duc faisait partie de l’entourage direct du roi et de Mme de Pompadour. Il possédait une grande bibliothèque qui sera à sa mort en partie acquise par le marquis de Paulmy et formera le cœur de la bibliothèque de l’Arsenal.
Ce manuscrit de Candide était donc destiné à être lu avant sa publication dans une relative discrétion. Modestement relié, il témoigne d’une époque qui n’accordait pas le même statut que la nôtre aux manuscrits d’auteurs.
Voltaire, Candide ou l’optismime [sic]. Manuscrit sur papier. Suisse, vers 1758.
Prov. : duc de La Vallière ; le marquis de Paulmy.
Lien à la notice du manuscrit numérisé → Ms-3160
Pour aller plus loin → Retrouvez sur "Les Essentiels" de la BnF la biographie et les œuvres de Voltaire
→ Photo du folio 103 : "Le capitaine français aprit bientôt que le capitaine du vaisseau submergeant était un pirate hollandais espagnol. C'était celui là même qui avait volé Candide. et que du vaisseau submergé était un pirate hollandais c'était celui là même qui avait volé Candide.
Présentation de quelques ouvrages exposés le dimanche 17 septembre à la bibliothèque de l'Arsenal, à l'occasion des journées du patrimoine (3/5)
Née à Francfort, Maria Sybilla Merian (1647-1717) fut élève d’Abraham Mignon (1640-1679?) et formée à la peinture de miniatures. Naturaliste, elle se passionne pour les insectes, les fleurs et s’installe deux ans avec sa fille au Surinam pour observer le vivant. Les dessins sur vélin qu’elle rapporte de son voyage sont à l’origine d’un album publié pour la première fois en 1705, considéré comme l’un des plus beaux livres d’entomologie. Ses planches coloriées furent recherchées par les bibliophiles.
L’exemplaire présenté pour la journée du patrimoine est un ouvrage posthume publié en 1726, dont la mise en couleur a été réalisée avec le plus grand soin. S’ajoute la prouesse technique de découpe des gravures collées sur le papier bleu des artistes.
Maria Sibylla Merian Dissertatio de generatione et metamorphosibus insectorum Surinamensium… Dissertation sur la generation et les transformations des insectes de Surinam… Den Haag : Pierre I Gosse, 1726.
Provenance. : Anne-Louise de Noailles, marquise de Mancini (1695-1773) ; marquis de Paulmy.
Lien à la notice du catalogue général, cote : Gr Fol-44 (1)
Présentation de quelques ouvrages exposés le dimanche 17 septembre à la bibliothèque de l'Arsenal, à l'occasion des journées du patrimoine (2/5)
Présentation de quelques ouvrages exposés le dimanche 17 septembre à la bibliothèque de l'Arsenal, à l'occasion des journées du patrimoine (1/5)
Dans ce petit octavo de la fin du XVIème siècle en maroquin citron discrètement doré à la roulette sur les chants, on lira de curieuses pratiques orthographiques de l’auteur Laurent Joubert, en complément des textes publiés. Ainsi p. 390, pourra-ton lire la phrase suivante : « Premieremant, il tient cette maxime, qu’il faut ecrire, tout ainsi que l’on parle & prononce ».
En outre, on pourra admirer en frontispice une gravure d’un autoportrait riant de Rembrandt, ajoutée par un collectionneur anonyme sur une garde blanche au regard de la page de titre et faisant ainsi écho à cet ouvrage remarquable intitulé :
Traité du ris contenant son essance, ses causes et mervelheus effais curieusement recerchés, raisonnés et observés… Plus un Dialogue sur la cacographie fransaise, avec des Annotacions sur l'orthographie de M. Joubert. Paris, Nicolas Chesneau, 1579. In-8o.
Provenance : Le marquis de Paulmy et un possesseur antérieur non identifié.
Cote de l'ouvrage avec accès à sa notice → ICI
La journée du patrimoine de la bibliothèque de l'Arsenal se tiendra le dimanche 17 septembre de 10h à 18h.
Les Évangiles de Saint-Martin-des-Champs (cote : Ms-599) sont un des plus beaux manuscrits de la bibliothèque de l’Arsenal. Il fait partie du groupe des huit manuscrits connus réalisés à l’école de la cour de Charlemagne et à ce titre a été inscrit par l’Unesco au registre international Mémoire du monde en 2023.
Entièrement écrit en lettres d’or, d’où son nom ancien d’Évangéliaire d’or, il présente une ornementation luxueuse, en particulier au début de chaque évangile (sauf pour celui de Luc) où, peintes en pourpre et or sur toute la page, des lettres ornées se déploient à l’intérieur d’un encadrement extrêmement chargé, ondulant et vibrant en argent, pourpre et or, comme au début de l’évangile de Matthieu ou de Jean, ou au contraire flamboyant en lignes d’or sur aplat de pourpre, comme au début de l’évangile de Marc.
Le mercredi 7 juin, une équipe suisse du groupe de recherche « Textures of Sacred Scripture » conduite par Thomas Rainer, professeur à l'Université de Zürich, a procédé à plusieurs analyses de ce manuscrit. L'équipe a réalisé plusieurs analyses par spectroscopie FORS et XRF afin de mieux comprendre les rapports génétiques et esthétiques entre les Evangiles de Saint-Martin-des-Champs et un autre manuscrit carolingien, le Psautier de Dagulf conservé à la Bibliothèque nationale autrichienne. Ces analyses permettront de préciser la datation du manuscrit de l'Arsenal, actuellement comprise entre 783 et 795. Les données collectées enrichiront également la base du données du projet « La couleur : artefacts, matière et cognition » de la BnF.
Rédigé par Jérémy Chaponneau
Marianne Peter a commencé la marbrure assez « classiquement », en étudiant la technique et en reproduisant des motifs de différentes périodes.
Elle trace ainsi pendant plusieurs années grâce à la rigueur que lui apportent les différents écrits sur la technique de la marbrure, les contours d’un nouvel univers graphique qui peu à peu finit par s’apprivoiser.
Après de nombreux questionnements (faut-il distribuer les couleurs d’une façon régulière sur l’eau ou non ?, quelles sont les couleurs caractéristiques des cuirs de reliure qui s’accordent avec le papier ?) et des pistes d’explorations multiples, Marianne Peter acquiert ce regard graphique qui lui permet d’aller vers des compositions de papiers marbrés artistiques ou papiers dits décorés.
C’est ainsi que ces papiers marbrés deviennent peu à peu « des peintures pour des livres ». C’est tout un processus créatif qui a mis le temps de se matérialiser sur la gomme liquide où flottent des couleurs en surface, sous-tendu par la technique.
Et comme dans tout parcours créatif, le fil conducteur est le lâcher-prise en plongeant à la bonne profondeur le bâtonnet ou le peigne dans le bac, Marianne Peter se déplace dans ses couleurs flottantes avec ce nouveau regard où elle laisse agir les pigments pour un « aléatoire-contrôlé»…
Accepter l’inattendu d’une rencontre entre un rouge de cadnium et un bleu de Prusse, un accident produit par une réaction chimique d’une potasse d’Amérique irisant des yeux de chats, de perdrix, jouer avec les vides, revenir ensuite en un second passage au stylet, au fur et à mesure Marianne Peter note dans ses carnets le cheminement de ses réalisations .
Chaque papier est unique et donc difficile à reproduire à l’identique, c’est sans doute ce qui fait le sel d’une vie de travail de cette marbreuse qui dessine sur la gomme.
Écrit par Christine Prieur
Vidéo en ligne de la conférence de Marianne Peter (2023-03-27)
Pour aller plus loin, le site en ligne de Marianne Peter
C’était lundi dernier à la bibliothèque de l’Arsenal ; nous accueillons Marianne Peter, marbreuse de papier. Elle venait nous parler de sa passion pour la marbrure à travers 40 ans de métier.
Entrons donc à petites gouttes dans l’univers de Marianne Peter à travers quelques lignes…
Dans un bac au format raisin, Marianne Peter prépare un mélange bien dosé de gomme qui s’apprêtera à recevoir des couleurs et c’est un jeu d’équilibre qui commence entre la quantité de couleur surnageant à la surface du bac et la gomme qui la soutient. Car il ne faut pas que les couleurs posées sur l’eau tombent au fond du bac et qu’elles soient fades sur le papier, qui une fois appliqué sur l’eau est retiré aussitôt. Les feuilles sécheront ensuite sur un séchoir de sérigraphie.
40 ans de travail à faire flotter les couleurs, à perturber le classique des motifs anciens de la marbrure, à composer sur un liquide où tout est une question de tension et compression entre les couleurs, à accepter l’inattendu…
Écrit par Christine Prieur
Vidéo en ligne de la conférence de Marianne Peter (2023-03-27)
L’Association Georges Perec, a été créée en 1982. Elle a pour but de promouvoir " la lecture, l'étude et le rayonnement de le rayonnement de l’œuvre de Georges Perec ".
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